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25 mai 2008 7 25 /05 /mai /2008 08:57

 

Sur le plan Doctrinal 

1 –  Mariage temporel

Le mariage est « terrestre » : il unit un homme et une femme devant Dieu pour leur vie sur terre uniquement. La Bible dit qu’aux cieux, il n’y aura ni homme ni femme mais des créatures ou des âmes toutes semblables ressemblant à des anges.

Dans ce cas le mariage n’est que temporel, passager, périssable (comme toutes les choses de la terre) et de ce fait, je ne vois pas la raison de le sacraliser.

Pourquoi ce qui n’est que terrestre ne pourrait être défait ou dissous ? Temporel, le mariage n’est donc pas indissoluble, puisqu’il n’est pas un contrat pour l’éternité.

                       

2 –  Pourquoi tant de problèmes avec le couple ?

Pourquoi Dieu a-t-il imposé à l’homme d’être fait de deux moitiés ? Et de faire aussi qu’il soit humainement très difficile de ne pas être séduit par la femme, d’être attiré par Elle, instinctivement ou sentimentalement ? En les créant ainsi, homme et femme, Dieu a introduit les désirs, les risques soit d’infidélité, soit d’ennui et de frustration (si l’on s’efforce de respecter la loi) sans parler de la souffrance de l’homosexualité ou de l’amour hors normes.

 

3   la conjugalité :

 

La conjugalité implique une part de perte de liberté ou une dépendance envers l’autre, simplement pour partager un projet de vie commune (à vie, qui plus est), avec une personne du sexe opposé. Or, c’est impossible aujourd’hui de prévoir sa vie sur le long terme et l’on doit composer aussi avec ce nouveau paramètre qui fait que l’homme vit beaucoup plus longtemps que lorsque la Bible a été écrite. Aussi, il y a trop de différences psychologiques entre les sexes auxquelles sont venus s’ajouter trop d’égalitarisme et une confusion totale du rôle de chacun. Bref, trop  d’obstacles à franchir pour que çà fonctionne bien aujourd’hui.

 

Je suis très pessimiste sur la question de la longévité des couples au 21ème siècle. A quoi bon vouloir se mettre cette idée dans la tête au départ, si non par pur idéalisme.

 

La conjugalité ne peut donc pas s’exercer en état de disponibilité permanente pendant toute une vie.

 

4 – Terme biblique incompréhensible aujourd’hui dans une société d’individus :

Le « Une seule chair » : c’est de l’idéalisme ou de l’utopie ! Chaque conjoint reste ce qu’il est, bel et bien dans sa chair, en os et en chair (preuve : la maladie ou la mort qui séparent ces deux chairs, pourtant déclarées une par le mariage).

L’on aurait plutôt du l’énoncer comme cela : l’homme et la femme unissent leurs corps et âmes pour donner la vie à un être nouveau issu de leurs chairs.

 

5  -  L’exclusivité ou le don total de soi :

On ne donne pas sa personne dans le mariage ; On reste un être à part entière, libre et digne, de ses choix, de ses actes et d’une part de sa souveraineté. On ne possède pas l’autre non plus.

(dire « ma femme ou mon mari » est déjà malsain dans le sens : il est mien, il est à moi ; elle est mienne…). L’exclusivité devient complice du désir de possession, qui est un mal en soi : un péché.

Par le mariage, on rompt un état de solitude en vue d’un partage. On partage une partie de soi-même seulement : on ne se donne pas entièrement, de même que l’on n’attend pas un don total de l’autre. Le don total est une absurdité car que devient alors l’épanouissement de sa personnalité propre, l’espace de son développement personnel ?

Sur le plan juridique

La fin du statut patriarcal (code civil Napoléonien)  nuit au devoir de père. Cela est en contradiction avec le sens du mariage. L’égalité des sexes au sein du foyer entraîne vers la paralysie dans le fonctionnement du couple, tôt ou tard.

L’autorité parentale exercée conjointement est un leurre, une source de conflits potentiels, un germe de divorce introduit à l’aura du mariage, dans son contrat même.

Le rôle et les fonctions distinctes de chaque genre ne sont plus assez précisés  et les devoirs conjugaux s’estompent face à la réalité de la vie.

Enfin, le divorce devrait être un acte gratuit (comme l’est le mariage), en cas de consentement mutuel.

 

 

 

Mariage et éthique judéo-chrétienne

Le mariage, terrestre et temporel, ne peut engager sur un projet de vie…….à vie !

Le but du mariage étant de fonder une nouvelle famille, la responsabilité du couple s’exerce dans :

-          Le devoir de procréation (fonder sa famille)

-          L’éducation des enfants

-          La survenance aux besoins de la famille

-          Le tutorat vers la vie d’autonomie de ses jeunes membres

Une fois cette mission accomplie jusqu’au bout, par le couple-parents, le mariage devrait pouvoir être renouvelé (ou dissous, sur simple consentement). Le renouvellement de la promesse par les époux ne se faisant que s’il y a harmonie et entente entre eux. Si ce n’est plus le cas : quel intérêt de poursuivre une vie d’affrontement ou d’ennui mutuel ?

Le couple qui se trouve seul avec lui-même, une fois les enfants partis, doit pouvoir se séparer librement (notion plus importante encore que celle de liberté ; l’engagement d’origine ne devant plus faire obstacle aux effets de désenchantement réciproque du couple qui a vécu) et retrouver leur statut de célibataire respectif, lorsque les deux conjoints en sont d’accord. Pour moi, le vieux couple a moins de sens, l’union de la chair s’étant altérée avec le temps et la vie commune pouvant présenter parfois plus d’inconvénients et de nuisances que d’avantages mutualisés.

Au plan du cérémonial 

Impossible pour moi d’adhérer au concept du symbole des alliances (plus communément simples bagues) que l’on doit passer au doigt de son/sa partenaire, lors d’une cérémonie de mariage.

L’échange des anneaux est un rituel cérémonial qui me répugne, et qui, à mes yeux, s’apparente au baguage des volailles ou pigeons et autre bétail. C’est très difficilement que je me suis laissé convaincre par le prêtre qui nous a mariés, mais je ne l’aurais pas porté longtemps, en ce qui me concerne, car je n’ai jamais aimé les bagues ou chevalières en tous genres et jamais souhaité, de ce fait, en porter.

Pour moi ce sont les actes, les comportements et les intentions qui comptent, et non pas les apparences ou enjolivements de cérémonie.

Les anneaux après tout, ne sont que deux morceaux de métal, même si ce dernier peut être précieux.

 Christian  BERNADOU

(réflexions sur le mariage)

5 mai 2008

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25 mai 2008 7 25 /05 /mai /2008 08:26

Le point le plus gênant, pour moi, lors de la cérémonie du mariage, est le passage des bagues (ou anneaux nuptiaux), que l’on enfile au doigt de sa partenaire et que l’on reçoit d’Elle, d’un geste réciproque.

N’ayant jamais avant mon mariage apprécié le port d’une bague ou d’une chevalière, je vois en ce geste un pur rituel de cérémonie, sans grande signification profonde, ne comprenant pas ce en quoi un simple bout de métal cerclé, fusse t’il même fait d’or ou d’argent,  peut apporter de plus au couple, à leur amour ?

Pire, cela me fait penser aux volailles et aux pigeons voyageurs auxquels les hommes mettent des bagues !

Comment un tel acte a-t-il pu s’inscrire et s’intégrer dans une cérémonie de mariage, comme dans ma religion ? Pourquoi a-t-il été rendu obligatoire, incontournable, si l’on souhaite se marier à l’église. Ne devrait-il pas rester du domaine du libre choix, pour les futurs époux, comme une option leur restant offerte pour le type de cérémonie qu’ils désirent ?

Pour moi, cet acte est insignifiant et je regrette aujourd’hui, à postériori, de m’être laissé convaincre par le prêtre qui nous a mariés, à suivre cette tradition. En effet, mon épouse également ne le souhaitait pas particulièrement !     

Cette bague, je ne m’y suis jamais vraiment habitué car chaque fois que je la voyais à mon doigt  (je l’ai quand-même portée 15 ans !), je ne pouvais m’empêcher de penser au bétail que l’on distingue ainsi : c’était devenu oppressant, pour moi. Il existe bien d’autres moyens de représenter un symbole d’alliance. Aujourd’hui, j’ai fait le choix de m’en débarrasser à jamais et de la faire disparaître. Je me sens libéré de ce signe extérieur qui relève du domaine du paraître, du catalogué !

Non, le sacrement du mariage et le bonheur, ni même la notion d’engagement mutuel et de fidélité l’un envers l’autre, ne doivent pas se rattacher à cette pratique d’un autre temps. L’homme et la femme ne sont pas nés pour devenir des personnes « à baguer », et peuvent tout autant si non plus rester unis et fidèles sans le port obligé de cet apparat en métal !

D’ailleurs, qui la porte vraiment encore aujourd’hui, une fois la cérémonie passée ? Des couples mariés mais d’autres non mariés aussi ; certains mettent même des bagues à plusieurs voire tous leurs doigts ! D’autres, très fidèles à leurs engagements ne la mettent plus après quelques années. Non, la cérémonie des anneaux devrait rester un acte à la discrétion de chacun et non un choix imposé par le rituel du mariage.

DEMOCRATE

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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 22:22

Je hais aujourd’hui le concept que le mariage puisse consister en un engagement «  à vie » ! Je ne sais  pas vraiment pourquoi  mais le fait est là. Est-ce que c’est parce que j’ai eu à souffrir un jour pour des femmes ? Une sorte de revanche tardive et inconsciente : peut-être !

Ou est-ce parce que je n’ai pas accepté le principe de parité dans la relation homme-femme, surtout lorsqu’ils sont mariés, le partage de l’autorité parentale aussi, et que j’ai l’impression de devoir lâcher une part de mon pouvoir de décision, de devoir me soumettre à une loi conjugale qui ne me convient plus, dans laquelle je ne me sens plus à l’aise : peut-être !

Pourtant je crois en Dieu.

Dans le contexte nouveau où l’homme et la femme sont placés dans un statut d’égalité absolue au sein du couple et du foyer, la notion d’union durable me semble ne plus tenir, des conflits décisionnels pouvant survenir à tout moment.

La dissolution d’une union matrimoniale doit être rendue plus facile lorsque le couple n’a plus d’enfants à charge. Dans ce cas, la notion de personne en tant qu’individu doit être impérativement retenue et passer  avant la notion de couple (Re. : Les droits de l’homme et de la personne).

Le couple marié n’est qu’une union de deux personnes, engagées dans un projet commun, certes, mais pas l’union de deux vies qui ont de toute manière des racines différentes. Aujourd’hui que l’homme vit plus longtemps que par le passé, le facteur Temps devrait être pris en considération, dans le cadre du contrat de mariage (il devrait y avoir un seuil de renouvellement des promesses de  son engagement ou la possibilité d’arrêter en cours de route, parvenu à ce seuil, sans avoir recours au divorce). Ce concept est certes une révolution mais il n’est qu’une adaptation à l’évolution de l’homme eu égard de sa longévité. En effet, avec le temps, les pensées et les comportements humains peuvent évoluer dans des directions diamétralement opposées, ce qui peut rendre la vie en couple infernale au bout de plusieurs années partagées, et même entraîner jusqu’à des violences conjugales, surtout verbales ou psychologiques, que l’on note être en  progression constante aujourd’hui.

Si l’un des partenaires du couple marié souhaite reconquérir sa liberté individuelle, alors pourquoi l’en empêcher ? Il doit pouvoir le faire sans pressions extérieures. Le consentement mutuel étant la meilleure formule de séparation.

La vie à deux n’est pas mieux que la vie en solo. Elle cause de nouvelles formes de tension, crée  de nouvelles sources de conflits (conjugaux, parentaux, familiaux) qui se trouvent exacerbés alors par la différence des sexes en présence et de leur psychologie respective.

Une fois le feu de l’amour éteint, la passion évanouie, restent l’ennui et la solitude à deux ! Tout peut alors se transformer très vite en zone de conflit ou zone d’ombre, du fait de la promiscuité ambiante régnant au sein du couple, jour après jour. Dans ce cas, vaut mieux la solitude en solo, moins dangereuse.

Ce que Dieu a uni l’homme ne peut le séparer (parole biblique) : ce qui revient à dire que l’homme n’est pas libre dans ses relations, de les entretenir ou pas. Pourquoi continuer de lui imposer au nom de la morale une personne féminine à son côté s’il n’en désire plus ?

Que de fois, dans bien des domaines de la vie, l’on peut se rétracter de tel ou tel engagement, en en donnant préavis. Pourquoi  donc, dans le cas précis du mariage, il ne pourrait en être de même ? Pourquoi s’obstiner à vouloir faire perdurer une relation « corps et âmes » qui n’est plus du tout manifeste ou plus vraie ?

Le sens des responsabilités doit primer lorsqu’on est parents. Là, le terme de devoir est compréhensible et moral. Il n’en est  pas de même lorsqu’on est sorti de ce temps des responsabilités familiales et que l’on redevient deux personnes qui ne font que vivre côte à côte, pour leur plus grande insatisfaction.

L’amour ne s’ordonne pas : il se ressent, nous est peut-être donné. S’il vient à disparaître, à s’effacer, à mourir même, dans un couple, alors quel intérêt à vivre ensemble la fin d’une aventure « maritale » qui n’est plus du tout passionnante ? Quelquefois, il faut savoir se libérer de ses chaînes et ne pas s’obstiner à vivre dans une prison dorée qui s’appelle « la Maison » à perpétuité.

Dieu ne condamne personne à perpétuité.

L’amour est un mystère. Il nous est offert : il nous tombe dessus sans prévenir souvent, mais il peut aussi nous être enlevé. Pourquoi attendre désespérément qu’il veuille bien nous revenir ou renaître de ses cendres, tel un phénix improbable, au nom des seules normes éthiques ou religieuses de vie ?

Quand le sentiment n’est plus là, la vie devient morne et ennuyeuse et l’on doit être capable de tourner une page de son existence. Nous avons remplis  notre mission conjugale et parentale jusqu’au bout en fondant une famille qui maintenant vole de ses propres ailes. Or c’est de notre bonheur qu’il s’agit maintenant ; c’est notre vie personnelle qui est en jeu par le maintien « obligé » en l’état de couple fictif.

La finalité du mariage est la famille et nul ne le conteste. Mais, lorsque celle-ci s’est réalisée, épanouie, chacun doit pouvoir voler de ses propres ailes, y compris les partenaires du couple qui doivent pouvoir se sentir libres de renouer avec leur destin personnel et de s’épanouir à l’extérieur du couple, s’ils le préfèrent ainsi.

Le couple n’est qu’un temps de la vie. Il n’est pas éternel. La sexualité en fait partie intégrante, mais la sexualité une fois éteinte et ayant porté ses fruits, le simple fait d’être toujours deux fait que l’on peut rester des amis tout simplement (plus de cette relation privilégiée, comme avant), et partant, reprendre son indépendance du temps d’avant le mariage, dans le respect de l’autre. C’est ma conception de la vie sur la question du mariage et de sa pérennité ; je le considère comme une simple mission sur terre, une noble mission humaine et sociale. C’est aussi avoir servi Dieu dans son œuvre de création. Nous l’avons fait. Maintenant, libérons-nous de cet état pesant.

Nous avons encore de beaux jours devant nous pour accomplir d’autres œuvres…..différentes de celles accomplies à ce jour, avec la famille.

Pour moi c’est : fini le couple !

Conclusion :

C’est ma volonté.

Si ce n’est pas celle de Dieu, alors c’est que Dieu ne veut pas vraiment notre bonheur individuel.

Christian BERNADOU                                                           Le 24 mai 2008

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22 mai 2008 4 22 /05 /mai /2008 01:22

 

Rien n’est mieux, rien n’est pire

Un jour pourtant l’amour expire

On n’a alors plus rien à se dire

Et les regards ne peuvent suffire

 

La joie de vivre devient misère

Jour après jour

Et l’on se dit : sur cette terre

Où va l’amour ?

En vain, on cherche une prière

C’est sans retour

Dans cet espoir, on désespère

Car le temps court !

 

Nous avions choisi le mariage

Et çà devait durer à vie

Mais nous étions à un autre âge

Et nous est morte cette envie

Est-il sage de se promettre

Amour, devoirs, fidélité

Que la vie viendra compromettre

Dans ses heures de vérité ?

 

La lassitude et l’ennui

Guident nos pas jour et nuit

Les mots ne nous disent plus rien

Et l’on ne s’entend plus aussi bien

 

Nous faisons la route à l’envers

Pour effacer ce lien

Chaque essai est suivi d’un revers

Nous deux, ce n’est plus rien

Je ne peux lui faire aucun reproche

Tant elle a fait de son mieux

On a perdu le goût des lunes de miel

Et à quoi bon que l’on s’accroche

Malgré tous les vœux pieux

Comme le voudrait tant le ciel !

 

Quand l’amour meurt, on meurt avec

Et comment raviver sa flamme

Si l’on sent son cœur comme sec

Et que de douleur, il s’enflamme

Où sont passées les nuits de douceurs

Les câlins venus du fond de l’âme

Les matins aux milles baisers

Pour sa jeune et jolie dame

La fusion des corps et des cœurs

Le temps est venu les briser !

 

Rien n’est mieux, rien n’est pire

C’est  vrai qu’un jour l’amour expire

Faut bien vivre avec cette évidence

L’Union n’est pas toujours providence !

 

CHRISTIAN

Mai 2008

 

 

 

 

 

 

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 23:45

 

Le mariage présente décidemment plus de handicaps que d’avantages !

 

Lorsque les deux partenaires d’un couple possèdent chacun leur salaire et leur propre compte en banque, les achats d’objets ou de bien effectués par l’un devraient être sa propriété exclusive. En cas de divorce tout doit alors être pris en compte pour le partage ou la vente. Cela est contraire, par nature au droit de propriété.

 

La situation de couple est invivable sur le plan matériel puisqu’elle revient à devoir diviser des possessions personnelles en cas de séparation ou de divorce. Cela se comprend pour des biens acquis en partage au départ, mais pour des biens personnels, on risque d’aboutir à des situations ubuesques !

 

Aujourd’hui, je ne conseille à personne d’opter pour une communauté de biens, dans un choix de vie commune, chacun devant parfaitement savoir à qui appartient tel ou tel objet ; et qui a payé de son argent pour l’acquérir.

 

La bonne entente, fruit de l’esprit et des sentiments, peut ne pas durer tandis que la matière, les objets, continuent d’exister tels quels ! Toute chose a un maître ou un propriétaire et la justice doit le reconnaître et le lui restituer entier au moment d’une liquidation de biens.

 

J’admets qu’il n’est pas facile de vérifier, pour un tiers, à qui appartient vraiment tel ou tel objet ou bien, en cas de séparation, la nature humaine étant trop souvent malhonnête sur ces questions, alors faudrait-il tenir un registre conjugal ou familial des biens propres, comme pour toute association, pour parvenir à une solution équitable ? Cela me paraît une solution difficile à appliquer dans le cadre de la vie privée.

 

La réponse est sans espoir et cela prouve bien la réalité de ce handicap incrusté dans les avantages du mariage.

 

Christian Bernadou

Février 2008

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 00:15

Le mariage est un fardeau qui pèse dans la vie d’un homme.

 

Quand l’homme s’engage dans le mariage, séduit par l’idée qu’il se fait de ce mode de vie ou statut, il n’est souvent pas éveillé sur toutes les incidences et implications que vont induire ce simple petit geste de sa main : une petite signature sur un registre de papier (qui d’ailleurs ne résisterait pas au feu lui-même) ! Pourtant, il y a les lois derrière, là aussi voulant régenter la vie privée et les sentiments humains.

 

Le mariage est un lourd fardeau qui grève une longue partie de la vie d’un homme, lui imposant des contraintes nouvelles portant atteinte à sa liberté.

Pourquoi se compliquer l’existence en couple alors qu’elle n’est déjà pas facile en soi, pas simple pour soi-même ?

 

Avec le recul du temps vécu l’on s’aperçoit de tout ce à côté de quoi l’on est passé, en se concentrant sur sa famille pendant de nombreuses années. On arrive alors au temps des regrets

que même séparation ou divorce (objets de lois, là encore) ne parviendront à effacer.

 

On se souvient de ses premières amours, autant de pièges que des femmes vous ont tendu de par leur pouvoir de séduction et cet inné instinctif d’attrait pour l’autre sexe inscrit et quasiment programmé depuis sa naissance, entretenu par l’éducation et présenté comme modèle de vie idéal, via le mariage.

 

C’est parce qu’on ne montre qu’une face de ce contrat, celle du bonheur et qu’on ne met pas assez en garde contre la perte d’une part de sa personnalité qui s’opère en voulant fusionner des extrêmes. La complémentarité supposée ne peut être parfaite et exister en permanence aussi tout mariage est soumis à des zones de turbulence, de conflits inévitables. On peut, on doit, dit-on, s’efforcer de les surmonter, mais la question que je pose est de savoir s’il n’est pas préférable de les éviter, tout simplement, en évitant le mariage, qui intrinsèquement ouvrira, dans un temps plus ou moins allongé, des séquences conflictuelles, des luttes d’influence ou de pouvoir au sein d’un ménage ? Les hommes ne sont pas assez prévenus avant qu’il ne soit trop tard du risque que les femmes leur font courir, et vice versa.

 

Ce fardeau de l’état marital, soumis à l’épreuve de l’égalité conjugale, s’alourdit avec le temps. Pourtant, s’il semble supportable dans la première moitié euphorique de l’union respectée, il pèse encore plus lourd en s’approchant de l’âge mûr et du grand âge surtout, car tous les maux de la vie sont multipliés par deux et l’effet miroir réfléchissant de la vieillesse joue le rôle de facteur aggravant.

 

C’est là que l’on regrette d’être resté dans ces normes et de n’avoir connu que ce modèle de vie sans éprouver d’autres ressources ni d’autres plaisirs. Non, le foyer n’est pas le seul modèle, car il est synonyme d’une part de sacrifice et ne permet pas d’exercer dans de bonnes conditions la pratique de ses libertés individuelles.  

 

Le mariage est un état de pesanteur qui vous est offert et pour lequel vous êtes consentant pour un temps. On ne le fait durer qu’en luttant mais à cette lutte on s’use davantage, forcément englué dans les turpitudes du combat quotidien que l’on doit mener pour vivre.

 

Je remets donc en question l’utilité du mariage et encore plus ses vertus, préférant mettre en garde ceux qui s’apprêteraient à tomber dans ce piège à long terme qui consiste à se mettre en ménage !  

 

Christian - février 2008

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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 22:52

 

La soixantaine atteinte, mon expérience de la vie est suffisamment éprouvée pour que je puisse porter aujourd’hui un jugement de valeur sur certains domaines qui concernent la vie des hommes et des mœurs qui l’animent.

L’un des domaines qui nous affectent de près est celui de l’institution matrimoniale telle que l’anthropologie, la tradition ancestrale ou la société humaine pré ou post-moderne l’ont construite, instituée, modifiée nous l’imposant plus ou moins comme une valeur normative.

 

Or, après en avoir reçu l’enseignement, y compris religieux, via la famille, l’éducation, l’exemple à travers la société, puis l’avoir intégré comme modèle de vie, l’avoir vécu ensuite, je dois avouer que le lien de conjugalité est l’un des plus pesants et des plus inhumains, des plus antinaturels que l’homme ait pu s’imposer pour se compliquer l’existence, déjà complexe en elle-même ! L’homme est un et indivisible de par essence et vouloir affirmer qu’homme et femme ne font plus qu’un seul corps, qu’une seule chair, est pour moi un pur concept mental : une abstraction de l’esprit. Bref, une utopie.

 

Homme et femme, unis par le lien conjugal ou associés dans tel ou tel projet commun ne peuvent se soustraire à leur condition d’origine, à savoir qu’ils restent chacun des individus à part entière et qui plus est de nature, de psychologie et de morphologie très différentes. L’homme et la femme sont donc chacun libres et égaux dans leur essence et pensées profondes et voilà qu’ils deviennent physiquement dépendants. Or l’union n’est  pas la fusion.

 

Le mariage est un mode de vie sociale mais ne doit pas instituer un état de dépendance entre deux personnes du même ordre que celui de la dépendance d’un enfant vis-à-vis de ses parents. En instituant des droits et obligations dans l’institution du mariage, on crée un état de dépendance entre deux personnes libres, qui plus est à vie, ce qui pose les fondements de conflits futurs entre personnes ne justifiant pas cet héritage.

 

Le lien conjugal résulte d’un ordre des choses que l’on pense avoir reçu de la logique de la nature et de la création mais qui va cependant à contre courant de l’expression et du besoin de cet esprit de liberté et d’autonomie que tout individu porte aussi naturellement en lui depuis sa naissance.

Vouloir conjuguer selon un modèle binaire cette expression constitue le paradoxe qui caractérise notre condition humaine sexuée et la marque inéluctablement de tous les stigmates et contradictions qui se font encore plus pressants et manifestes à notre époque ouverte et plurielle.

 

L’homme n’est pas fait pour s’enfermer dans un cadre de contraintes qui nuisent à son épanouissement personnel ou pour devenir l’objet ou le sujet d’autrui. On n’appartient qu’à Dieu, on ne peut pas appartenir à une autre personne sans que cela ne devienne de la possession, ce qui est mal en soi. Or la nature sexuée et l’instinct de vie nous poussent, dès qu’on atteint l’âge adulte et mur, à rechercher un modèle conjugal de vie, lequel modèle posera tôt ou tard de nombreux problèmes de conscience tandis qu’on en fait l’expérience dans son vécu, au quotidien. Si ce n’est pas le cas, c’est alors que l’on s’y est résigné et que ses interrogations seront toujours repoussées dans un combat intérieur qui, soit nous contraindra à vivre cet état par raison ou, au nom de sa foi ou de ses croyances, soit provoquera en nous une révolte contre une condition que l’on se sera imposée, même en y ayant librement consenti, pensant qu’elle était la norme. 

Or cette condition de changement de mode de vie, du passage du célibat au mariage, n’est ni normale, ni anormale, mais choisie et avalisée pour raison normative (tradition) ou sociétale (civilisation, modèle de société), comme étant inscrite naturellement dans le code de la vie et de la généalogie.

 

Avoir accepté ce modèle comme étant un bien transmis et acquis depuis x générations sans interrogation sur ses fondements, son bien fondé, et surtout sur ses contraintes déstabilisantes pour l’individu, sans  remettre en question l’ensemble, me plonge aujourd’hui dans une suite de problèmes d’ordres psychologique et existentiel sans fin, sans que je puisse pour autant trouver de réponse satisfaisante dans la constance ou dans la rupture d’un lien fictif et rigide, crée par l’homme lui-même, pour un soi-disant mieux-être personnel. C’est cette vérité qui est difficile à comprendre, car arrimer toute sa vie à celle d’une autre personne, qui plus est de sexe différent, c’est aussi quelque part dévaloriser sa propre vie.

 

Aujourd’hui plus que jamais, je porte sur la valeur du lien conjugal un jugement mitigé. On ne peut s’imposer de contraintes que sur une période de durée définie et non pas « in Eternam» : c’est absurde ! Quand bien même on se l’imposerait par principe familial ou religieux, le fait est que l’intensité du lien ne correspondrait plus à celle du lien initial mais aurait subi une transformation inéluctable avec la pratique et le temps. Ce peut être pour le mieux, certes, mais rien ne le garantit. Or rester vrai face à soi-même est l’une des conditions de base de la dignité de l’homme.

 

Pour ces raisons, je ne reconnais plus la valeur inculquée par ma famille du lien du mariage et le statut qui lui est afférent et me dispense ou me soustrait aujourd’hui volontairement à ses obligations dérivées, lesquelles entravent ma liberté d’agir, peut-être, mais non celle de penser autrement. Car telle est ma seule vraie liberté : celle qui me permet encore de me considérer comme non marié, sans avoir à passer devant un juge ! Pour la société, je le reste, oui, mais dans mon fort intérieur, je ne le suis plus. Aucune loi ne réussira à me faire penser le contraire.

 

Certes, vivre en adéquation avec cette croyance personnelle n’est possible qu’en se désintéressant totalement des aspects matériels qu’un contrat de mariage induit, prêt à abandonner tous ses biens à l’autre, s’il le faut, dans le seul objectif de préserver le principe de fond. Oui le mariage est un état qui use et qui peut épuiser les conjoints.

 

Le mariage n’est rien d’autre qu’une aventure humaine, heureuse ou malheureuse.

 

   Christian

16 Mars 2008

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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 23:54

Le mariage est une contrainte

 

Le mariage m’empoisonne l’existence aujourd’hui car il représente un état de dépendance.

Je ne suis plus heureux de vivre et d’avancer dans ce statut si particulier ! Il y a dans la vie un temps pour tout : l’enfance, l’école et l’université, le mariage, la vie de couple et de famille, puis la retraite (de tout).

 

Dans chacune de ces étapes, il y a des devoirs et des obligations à assumer, des principes à respecter, une mission à accomplir pour le bien de l’humanité et pour son propre bien.

 

    - Pour l’école et l’université, c’est d’apprendre et de réussir.

 

- Pour le mariage, la vie de couple et de famille, c’est de construire un foyer, d’y être fidèle, de trouver le bonheur et l’équilibre et de s’épanouir en groupe.

 

- Pour la retraite, c’est profiter du temps qu’il nous reste et de plus de disponibilité pour enfin se libérer des charges et responsabilités précédentes, mieux se consacrer à ses passions et centres d’intérêt, et jouir de sa liberté retrouvée.

 

Aucun mariage ne justifie en lui-même la durée à vie, une fois la mission parentale achevée.

Le couple est une contrainte en tous points. La preuve en est qu’il oblige, pour s’en défaire, à devoir payer, prendre un avocat, un notaire, se disputer parfois jusqu’à des biens propre et personnels péniblement acquis.

 

L’homme et la femme ne devraient pas être implicitement contraints par lois ou morale de partager à vie leur existence, leur projets, leur corps, aux dépends de leur équilibre personnel, de leur intégrité psychique, de leur santé physique, ou de l’évolution de leurs concepts.

Il faut accepter que certains de ceux qui se sont mariés un jour puissent vouloir se quitter parvenus au seuil d’un autre jour, une fois leur mission remplie en toute responsabilité.

 

L’amour peut continuer d’exister même en se quittant. Cela peut paraître comme un paradoxe, mais la nature humaine est ainsi faite. Les paradoxes font aussi partie de notre vie.

Vouloir continuer une vie commune n’a de sens que si les deux conjoints le souhaitent.

L’un ne peut forcer l’autre. Nul ne peut contraindre les deux contre le gré d’un seul.

 

Quelquefois, le chemin de l’amour partagé doit s’effacer devant celui encore plus grand de la liberté. Le mariage est et restera une contrainte.

 

Christian

1er avril 2008

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29 avril 2008 2 29 /04 /avril /2008 12:10

La  RUPTURE

Introduction

Marié en Angleterre à la veille du printemps de l’année 1974, à 60 ans à-peine et à l’approche de mon 35ème anniversaire de mariage, depuis ces quelques dernières années je n’ai de cesse de m’interroger sur le sens du mariage et de la vie conjugale, oscillant entre joies et vicissitudes, bonheur et contraintes, rapprochement et lassitude. Comment, dans ce statut de mariés peut-on passer de l’amour au désamour en plus de 30 ans ?

C’est surtout l’évolution récente des droits des femmes dans la société et dans la cellule familiale : égalité entre époux et égalité parentale, qui ont bouleversé la donne des rapports conjugaux au point que j’y trouve moins d’attrait comme choix mode de vie et que cela me pousse à vouloir redevenir célibataire. En effet, les changements intervenus du fait de loi m’obligent à faire machine arrière, car je ne peux compromettre mon autorité dans ce type de reconnaissance, contraire à ma nature humaine et à la formation reçue de mes parents, d’autant que cette reconnaissance serait en contradiction avec les termes du contrat de mariage tel que je l’ai signé en mars 1974.

Il y faudrait donc, soit un avenant, soit de reformuler son engagement et de signer de nouveau. C’est pour cette raison que j’ai engagé aujourd’hui une procédure de demande d’annulation de mon mariage à la fois auprès de Vatican et auprès du Procureur de la République. Sur le plan juridique, je pense être dans mon bon droit et que mes arguments sont suffisamment précis pour justifier ma demande.

                  Car, du fait de ces nouvelles lois, le lien conjugal s’est peu à peu transformé en fil de compétition et de concurrence entre sexes, au point de mettre réellement à risque cette très vieille institution du mariage ! Les rôles de chacun n’y sont plus clairement marqués, quasiment alter-changeables et on aboutit à la masculinisation de la femme et à la féminisation de l’homme, au bout du compte avec des rôles tantôt compatibles, tantôt conflictuels, parfois même ridicules pour l’homme, l’ex-chef de famille, au statut rabaissé.

 

J’en ai conclus que s’il devait y avoir totale égalité dans une indifférenciation des genres masculin et féminin alors à quoi bon le couple (à quoi sert-il vraiment ?), qui devrait être avant tout un espace de complémentarité et de convivialité. Le rôle du Père pour moi est et restera toujours celui de guide de sa famille : celui qui prend la décision finale qui s’impose à tous pour l’intérêt commun de tous ses membres.

Si ce rôle capital et primordial lui est enlevé ou amputé de moitié, s’il en vient à le paralyser dans ses actes, alors oui l’on peut se poser cette question : à quoi bon l’union de deux ? Dans l’organisation de toute structure (même démocratique), il n’y a qu’un seul chef ! Si tel n’est plus le cas dans le mariage, sa finalité de longévité se trouve menacée et vaut peut-être mieux se séparer.

Cette réflexion m’a conduit à conclure qu’à un moment ou à l’autre, devant l’insistance du législateur à vouloir tout cadrer, tout normaliser, tout formaliser (y compris le domaine de la vie privée des personnes) , au détriment du Père de famille, que la liberté valait mieux que ces considérations modernes, mais rétrogrades pour l’homme, la rupture s’imposant alors de facto comme l’unique solution face au dilemme posé.

Car, en fait, aujourd’hui dans le mariage, la seule vraie liberté qui reste entière à l’homme est encore celle de son pouvoir de rompre l’union. Ce pouvoir n’est pas conjugal mais un : il n’est pas obligé d’être partagé. Dans la rupture, il y a là une inégalité de fait, la décision ne relevant pas nécessairement de la volonté de l’autre.

C’est donc ce thème des raisons d’une rupture que je vais développer au fil de ces articles, dans ce blog dédié. Vous pourrez trouver cela triste et regrettable, voire choquant même, pour certains, mais tous mes arguments s’appuient sur le vécu de mon expérience personnelle et l’analyse que j’en fais.

La vie à deux n’est pas toujours un long fleuve tranquille ! Qu’est-ce qui poussent un homme et une femme à s’épouser, puis à se séparer, après de nombreuses années de vie commune ?

Pour moi, ce sont avant tout les changements dans les fondements de base du contrat matrimonial qui ont miné peu à peu le bonheur tranquille et la stabilité de l’union. Les nouvelles conditions imposées par la loi sont incompatibles à mes engagements du temps de ma signature.

La responsabilité de la mission parentale ayant été assumée et conduite jusqu’à son terme, on peut maintenant se permettre de revenir aux principes de base qui ont défini et entériné le mariage, au moment précis de l’union. L’on peut ouvrir le vrai débat : le contrat de mariage peut alors être accepté par le couple tel quel (selon les nouvelles normes en vigueur) ou rejeté, en vertu de la stricte application des textes, valables, légaux et reconnus, lors de l’engagement original pris.  

Vous pourrez, bien sûr, tout au fil de ce blog, exprimer librement vos vues personnelles sur la question qui m’offusque et sans-doute j’en retirerai  un autre enseignement : le vôtre ! Cela devrait m’aider également à ne pas m’enfermer dans des principes intangibles et à évoluer vers autre chose dans ma vie. Merci à toutes et à tous !

Maintenant, bonne lecture de « la Rupture » 

Et s’il y a quoique ce soit que vous n’arrivez pas à comprendre, dans tel ou tel article, concept, idée, n’hésitez pas à demander ; je m’efforcerai de répondre avec des articles en italique nommés « complément d’information ».

DEMOCRATE

 

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29 avril 2008 2 29 /04 /avril /2008 11:15

AMOUR  -  DESAMOUR : « That is the Question ! »

Mariage, puis démariage (séparation ou divorce) : lois de la conjugalité, fidélité et infidélité (adultère), liberté ou contraintes,  autonomie de la personne, amour puis discorde et désamour dans le couple, lassitude puis solitude extrême du tendre duo formé au temps du rêve des rencontres et du bonheur ! Faut-il dire « Inch’ Allah » ou réagir vivement ?

Conscience  et  états d’âme, principes moraux et religieux, inventivité et traditions, sexualité et normes : à chacun ses idées, ses principes, son honneur, sa parole, son éducation, son adhésion, son modèle, son mode de vie en solo ou en couple ! Tout est lié à notre subjectivité, à nos passions, à nos convictions profondes, à nos aspirations même, et pourtant ?

Que de choses sont subies, nous envahissent et nous empreignent au quotidien, de manière insidieuse parfois, et s’installent dans notre subconscient. Alors les idées battent la chamade, les principes se confondent ou s’érodent, la lutte en nous-mêmes et  le doute aussi s’installent jusqu’à nous tourmenter, voire nous torturer  l’esprit. Qui d’entre vous n’a jamais éprouvé ces phénomènes venus de l’extérieur, et s’est réfugié ensuite dans la tristesse.

Blog de la libre expression, Amour et  Désamour s’engage sur cette thématique qui ronge nos vies parfois et qui effleure nos sens tant c’est à fleur de peau qu’elle nous touche et que tous nos sens en sont bouleversés. Que faire quand l’amour se meurt ?

C’est le récit d’une rupture, ma rupture, que je vous livre et de tous les éléments métaphysiques qui trouvent leur raison dans aucune logique mais plutôt dans un système de pensée complexe, trop complexe, mais ne sommes nous point des êtres complexes, tous ?

La suite dans le commencement de la rupture : vos commentaires, nul doute, vont m’aider à  me comprendre (qui sait ?) et peut-être changerais-je alors de cap !

DEMOCRATE

 

 

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